Le père de la physique moderne, celui qui a découvert la loi de la gravitation, était croyant. Cela est connu de tous. Mais dans quel monothéisme? De nouveaux documents dévoilent la vérité cachée par les proches de Newton après sa mort. Newton était un amoureux du judaïsme. Il pratiquait en secret les sept lois des bné Noah. Il avait lu Maïmonide et le Talmud, semble-t-il en hébreu. Pour lui, les grecs étaient des falsificateurs et des copieurs qui n’ont pas hésité à trafiquer les dates de leur histoire, afin de masquer les origines juives de leurs découvertes scientifiques et philosophiques. Il aconsacré une partie importante de ses recherches au Beth Hamikdach. A ne pas manquer.
Le saviez-vous? Newton; oui Isaac Newton, le père de la physique moderne, celui qui a démontré les lois de la gravitation universelle; vous savez bien: le monsieur qui a reçu une pomme sur la tête; celui qui a révélé au monde les principes de l’inertie, de la dynamique et de l’action/réaction, était en secret un admirateur du judaïsme, un pratiquant des sept lois de Noah. Si l’atmosphère religieuse des 16ème et 17ème siècles l’avait permis, Newton aurait certainement pu afficher ses convictions en public. Mais sa célébrité, et surtout le fait qu’il était un symbole national en Angleterre, en a décidé autrement, y compris après sa mort.
Comment connait-on ce secret? Qui a révélé cette information si bien cachée?
En fait, c’est une boîte bien remplie qui a conduit les historiens sur la piste de cet amour caché; une boîte remplie de manuscrits, écrits de la main de Newton lui-même.
Newton est né en 1643, et il est décédé en 1727. Après sa mort, ses proches mettent la main sur une caisse contenant des manuscrits; on sait que Newton aimait écrire. Il a d’ailleurs écrit près de 3600000 mots dans l’ensemble de ses lettres. Il ne publiait jamais le fruit de ses recherches immédiatement, d’où l’intérêt d’étudier le contenu de ces manuscrits. Le résultat de ces recherches va laisser les proches de Newton dans la confusion la plus absolue. Ils y découvrent tout simplement que le savant chrétien était en fait totalement fasciné par le judaïsme. Il avait même pris sur lui de pratiquer les sept lois de Noah, que tout non-juif se doit de pratiquer, d’après le judaïsme. C’est tellement grave, qu’ils décident de ne rien publier durant plusieurs décennies. Ce n’est qu’en 1936, soit plus de deux siècles après sa mort, lorsque la société anglaise Sotheby’s décide de mettre en vente une grande partie des manuscrits, que la vérité va éclater.
Un des acheteurs de ces textes, est un des plus grands économistes de tous les temps; il s’agit de John Meynard Keynes, qui va se livrer à une étude complète de tous ces documents.
Voici le compte rendu de son travail: « Newton était un homme très religieux qui voyait dans son travail scientifique une mission visant à dévoiler la sagesse divine dans la création » écrit-il; et il poursuit: « Cependant, dès le début de sa vie, newton a abandonné la foi chrétienne dans laquelle il avait été éduqué. Par son étude en profondeur des textes saints, il est arrivé à la conclusion que les idées fondamentales de la chrétienté, n’était que des immitations tardives. Du point de vue religieux, Newton croyait dans le monothéisme juif, selon les conceptions de Maïmonide. »
On a même retrouvé dans certains documents des annotation en hébreu, qui renvoient à des passages du Michné Torah de Maïmonide;
Dans sa bibliothèque, on pouvait trouver des livres comme « le guide des égarés » ou le « Michné Thora » de Maïmonide, le commentaire de rav Abrabanel sur la Thora; Les notes de Newton, celles que ses proches ont voulu cacher, montrent une connaissance encyclopédique des écrits des rabbanim de toutes les époques.
Dans un de ces manuscrits, dans lequel il écrit des notes sur la guerre de Gog et Magog, la guerre qui permettra l’avènement du messie, il produit une preuve de son point de vue en s’appuyant sur une traduction araméenne de la meguilat Esther, sur des commentaires rabbi Saadya Gaon et de Even Ezra. A un autre endroit, il commente un point de vue du sefer hahinoukh, un livre qui décompte et explique les 613 mitswot de la Thora, et oppose ce point de vue à celui de Rachi, le commentateur de la Thora sur cette même mistwa. A un autre endroit, il cite le point de vue de rabénou Ovadia Mi barténora, sur les dimensions du beth hamikdach. Sur d’autres feuillets, on retrouve de longues notes, rédigées en hébreu, qu’il recopie des textes du Talmud.
On dispose même d’un manuscrit dans lequel il traite du partage de la Thora en petits textes que l’on nomme les paracha; non pas celles qu’on lit toutes les semaines, mais celles qui sont au nombre de 155 à 175 selon les avis, et qu’on appelle en hébreu les stoumot et les p’touhot. Il y rappelle un commentaire de nos sages sur la parachat Vayéhi, à la fin de Berechit.
De l’étude de ces documents, il ressort clairement que Newton avait décidé de pratiquer les sept lois de Noah, et ce afin d’être en accord avec le monothéisme juif. Il y écrit notamment que l’interdiction de manger des animaux vivants, qui est une de ces sept lois, ainsi que l’interdiction de manger du sang, qui n’en fait pas partie mais qu’il prend quand même sur lui, sont destinées à amener l’homme à un état idéal.
Pourquoi garde-t-il ce secret? La réponse est simple: 30 ans avant la naissance de Newton , on brûlait encore les gens qui osaient défier la chrétienté; de son vivant, la loi qui interdisait de contredire les dogmes chrétiens, et qui ne sera abrogée qu’en 1813, était encore en vigueur.
Et qui est le rav qui a eu le bonheur d’enseigner à un si illustre élève?
Il s’agit du rav Ytshak Abendana, qui fut autorisé à venir s’installer en Angleterre en 1662, et qui reçut un poste d’enseignant à Cambridge, là où étudiait un jeune homme, nommé Isaac Newton, alors âgé de 19 ans.
En sa compagnie, il étudiera le calendrier juif qui fascinait tant les astronomes de toutes les époques, les sept lois de Noah, et surtout les dimensions, la structure et les secrets du beth hamikdach, dans lesquels il voyait le dévoilement des secrets de toute la création.
Il écrira également au sujet des grecs: « les concepts de base des grecs, en philosophie et en mathématique, ont été pris de sources juives. Les grecs ont retardé la datation de leur histoire de 300 à 400 ans, pour cacher le fait qu’ils ont pris leurs idées des bné Israël, du peuple juif »
Laissons le mot de la fin à Newton lui-même, en rappelant que tous les jours, dans la prière du matin, nous disons que D. recrée le monde à chaque instant. Newton, en observant le cosmos, et dans une optique purement scientifique, parvient à une conclusion qui est la suivante: « D. recrée le monde à chaque instant ».
Rappelons le : Newton est le père de la physique moderne, ses écrits influencent encore aujourd’hui l’histoire de la science et des idées. Tout cela de la part d’un homme qui s’identifiait silencieusement au judaïsme.
Comments